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Actualités en bref

Le Secrétaire général de l’UIP reçoit le Vice-Premier Ministre et Ministre des affaires étrangères yéménite à la Maison des parlements

Le Secrétaire général de l’UIP, Martin Chungong, et le Vice-Premier 
Ministre yéménite,  Abdel Malik Al-Mikhlafi. © UIP/Jorky

Le Secrétaire général de l’UIP, Martin Chungong, et le Vice-Premier Ministre yéménite,  Abdel Malik Al-Mikhlafi. © UIP/Jorky

Le Vice-Premier Ministre et Ministre des affaires étrangères, M. Abdel Malik Al-Mikhlafi, s’est rendu au Siège de l’UIP le 25 septembre. Il a rencontré le Secrétaire général de l’UIP, M. Martin Chungong, avec lequel il a discuté de la situation actuelle au Yémen. Le Secrétaire général l’a informé des efforts déployés par l’Organisation pour mobiliser davantage de ressources destinée à l’aide humanitaire pour le peuple yéménite. L’Organisation s’employait également promouvoir le dialogue au sein du Parlement yéménite afin d’aider ce dernier à forger une riposte unifiée face aux difficultés que connaît le Yémen.

« J’exhorte le Parlement yéménite à former un front uni pour défendre le peuple yéménite. Celui-ci en a besoin et le mérite », a dit M. Chungong.

M. Al-Mikhlafi a exprimé sa reconnaissance pour les efforts que certains parlements ont fournis en faisant pression sur leurs gouvernements afin que ceux-ci augmentent l’assistance humanitaire destinée au Yémen. Ces actions sont directement liées au point d’urgence sur la famine au Yémen et dans certaines parties de l’Afrique, adopté à la dernière Assemblée de l’UIP en avril de cette année. Le Vice-Premier Ministre a assuré que son Gouvernement s’engageait à autoriser l’accès humanitaire à tous les Yéménites indépendamment de leur allégeance politique.

 M. Al-Mikhlafi a déclaré que l’absence de légitimité était le principal problème au Yémen et que celui-ci devrait être résolu dans un avenir proche, une fois que le Parlement se serait réuni à Aden fin octobre. Il a souligné que la première séance serait ouverte à tous les membres du Parlement qui avaient été élus en 2003, quelle que soit leur appartenance politique. La question du statut du Parlement auprès de l’UIP serait alors réglée et l’Organisation n’aurait plus affaire à deux factions, mais à une seule institution légitime.